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Sommaire

I. DES POLITIQUES EUROPÉENNES TERRITORIALES ENTRE COMPÉTITIVITÉ ET COHÉSION
A. DES POLITIQUES AU SERVICE DU DÉVELOPPEMENT DES TERRITOIRES
1. Quel projet européen pour les territoires et quelles évolutions ?
2. Quelles sont les politiques au service des territoires ?
3. À quels défis ces politiques sont-elles confrontées ?
B. L’UNION EUROPÉENNE : DES DISPARITÉS SOCIO-SPATIALES
1. Comment les inégalités territoriales au sein de l’UE évoluent-elles ?
2. Quels sont les territoires les plus compétitifs ?
3. Des dynamiques territoriales complexes et contradictoires
II. L’UNION EUROPÉENNE, UN ESPACE PLUS OU MOINS OUVERT SUR LE MONDE
A. L’UNION EUROPÉENNE, UNE PUISSANCE MONDIALE
1. Quelles sont les spécificités de cet ensemble régional ?
2. Aspects et limites de la puissance de l’Union européenne
B. L’UE : UNE OUVERTURE À GÉOMÉTRIE VARIABLE
1. Comment l’Union européenne s’insère-t-elle dans la mondialisation ?
2. Quels sont les effets de la mondialisation sur ses territoires ?
3. Quelles sont ses priorités face aux tensions internes et externes ?

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Manuel p.199-237

Introduction

Organisation régionale au degré d’intégration le plus poussé au monde, l’Union européenne développe des politiques de cohésion et de compétitivité -Définitions p.202 pour réduire les inégalités territoriales et faire face à la concurrence mondiale. Cette puissance économique (premier pôle commercial mondial), plus ou moins ouverte à la mondialisation, est exposée à des défis et tensions internes et externes, ce qui limite son affirmation comme puissance sur la scène mondiale.

I. Des politiques européennes territoriales entre compétitivité et cohésion

Cours p.202-203- Pour réduire les inégalités et promouvoir le développement de ses territoires dans leur immense diversité, l’Union européenne a mis en œuvre des politiques territoriales fondées sur la solidarité financière. Cette politique de cohésion a permis de réduire les écarts de développement entre les États et les régions de l’Union européenne. Malgré ses efforts et d’indéniables réussites, l’Union européenne reste confrontée à des défis majeurs : un développement plus équilibré, plus solidaire, plus durable, une plus grande efficacité…

Quels sont les enjeux des politiques européennes ? Quels sont leurs impacts territoriaux ?

A.    Des politiques au service du développement des territoires

1.     Quel projet européen pour les territoires et quelles évolutions ?

Dès la fondation de la CEE, le traité de Rome (1957) lui donne pour objectif d’« assurer le développement harmonieux des territoires de l’Europe en réduisant l’écart entre les différentes régions et le retard des moins favorisés ». Mais ce n’est qu’en 1986, avec l’adoption de l’Acte Unique, qu’une politique de cohésion est concrètement entreprise, entrainant d’importants transferts financiers des États les plus riches vers les États et les régions en retard de développement -Repère 3 p.200. Les premiers contributeurs et bénéficiaires du budget européen.

Longtemps limitée à un dialogue entre États et Europe, la politique de cohésion de l’Union européenne implique davantage l’échelon régional à partir de 2007 -Repère 1 p.200. Classement des régions éligibles aux aides de l’Union européenne et se fixe de nouveaux objectifs : 1/ Compétitivité, pour une meilleure adaptation au contexte de la mondialisation ; 2/ développement durable, pour intégrer les préoccupations politiques nouvelles.

Ces deux objectifs sont au premier plan dans l’Agenda de Lisbonne (2000-2010), puis dans la Stratégie Europe 2020 (2010-2020) -Notion en schéma p.202 mise en place en 2010 et réaffirmés dans le nouveau programme stratégique 2019-2024.

2.     Quelles sont les politiques au service des territoires ?

La politique agricole commune (PAC) et la politique de cohésion et de compétitivité sont les deux principaux postes de dépense de l’Union européenne -Repère 2 p.200. Elles sont financées par les fonds européens structurels et d’investissement (FESI). Les FESI financent des projets au service de l'emploi, de la recherche, de la formation, de l'environnement, de l’énergie, etc. -Repère 6 p.201. Les priorités d’investissement de l’UE. Ils sont gérés directement par les États membres de l'Union européenne. Il existe plusieurs types de FESI :

  • Le Fonds européen agricole pour le développement rural (FEADER), qui soutient le développement rural dans le cadre de la politique agricole commune (PAC) -EDC p.192-193. La PAC, facteur de développement agricole et rural en région Auvergne-Rhône-Alpes ? ;
  • Le Fonds européen pour les affaires maritimes et la pêche (FEAMP), qui finance la politique de la pêche et des affaires maritimes.
  • Le Fonds européen de développement régional (FEDER), le Fonds social européen (FSE) et le fonds de cohésion, aussi appelés fonds structurels -Notion p.201+ Repère 4 p.201. Comment les fonds structurels fonctionnent-ils, qui financent la politique de cohésion économique, sociale et territoriale ;

Les investissements au titre de la cohésion contribuent ainsi à la réalisation de nombreux projets, majoritairement (mais pas exclusivement) dans les régions et pays européens moins développés -Repère 4 p.201. Comment les fonds structurels fonctionnent-ils ? + Repère 5 p.201. Deux exemples d’utilisation de fonds structurels + Actugéo p.203. L’UE finance un gazoduc en Bulgarie + Dossier p.210-211. La Polynésie française, si loin, si proche de l’Union européenne.

Aux FESI s’ajoutent d’autres programmes européens, comme Erasmus+[1] pour l’éducation -Dossier p.212-213. Erasmus +, un programme de l’UE en faveur de la mobilité ou Horizon 2020 pour la recherche et le développement.

3.     À quels défis ces politiques sont-elles confrontées ?

Les politiques européennes peinent néanmoins à accompagner tous les espaces en difficulté[2], faute d’un budget européen suffisant. L’Union européenne éprouve également des difficultés à faire évoluer ses politiques sectorielles historiques comme la PAC -Photo + vidéo p.199.

Dans ces conditions, elle doit de surcroît affronter une montée des euroscepticismes, dont le Brexit a été une traduction concrète -mais pas unique.

B.    L’Union européenne : des disparités socio-spatiales

1.     Comment les inégalités territoriales au sein de l’UE évoluent-elles ?

Actu Géo p.205. La Pologne se rêve en grand- La politique de cohésion de l’Union européenne trouve une traduction concrète dans les régions défavorisées :

  • Amélioration des infrastructures de transport (désenclavement interne/externe),
  • Contribution à la reconversion et à la modernisation économiques,
  • Augmentation du niveau de qualification.

Dans ces conditions, le PIB et le niveau de vie de ces territoires ont sensiblement progressé. Après l’Irlande[3], la Grèce, l’Espagne, le Portugal, on assiste aujourd’hui à un début de rattrapage pour les pays d’Europe centrale et orientale (PECO) -Carte 2 p.207. Le rattrapage économique des PECO.

Mais les écarts restent importants -Carte 1 p.206. Les contrastes de richesse de l’Union européenne. Les inégalités entre régions peuvent se lire sur un gradient Ouest-Est : par exemple, le Luxembourg a un PIB / hab. douze fois supérieur à celui de la Bulgarie. Les dix régions les plus pauvres d’Europe sont en Bulgarie, Roumanie et en Hongrie[4]. Mais les écarts les plus forts opposent les régions métropolitaines aux autres : par exemple, le PIB / hab. dans les campagnes bulgares s’élève à 13% du PIB moyen par habitant en Europe, contre 583% dans l’ouest de Londres. En effet, les dix régions capitales concentrent une richesse au moins deux fois supérieure à la moyenne des régions.

On peut en déduire que les territoires de l’Union européenne connaissent les recompositions déjà observées à l’échelle planétaire, sous l’effet d’une mondialisation sélective, à la fois intégratrice et excluante… mais que la politique de cohésion de l’Union européenne apporte une compensation (partielle) à ces dynamiques inégalitaires.

2.     Quels sont les territoires les plus compétitifs ?

Les zones urbaines et régions métropolitaines génèrent environ 85% du PIB de l’Union européenne (pour 72% de la population). Leur prépondérance est liée à la dimension cumulative de la distribution des pouvoirs de commandement, et à leur capacité d’innovation.

Pour mener à bien, parallèlement à la politique de cohésion, ses objectifs de compétitivité, l’Union européenne soutient l’innovation par le développement des pôles de compétitivité -définition p.204, comme ce fut le cas par exemple dans le cadre du programme COSME-Horizon 2020 -définition p.204. Horizon Europe prend la suite du programme Horizon 2020 sur la recherche et l'innovation pour la période (2021-2027), avec un budget compris entre 94,1 et 120 milliards d’euros pour la période[5] -Étude de cas p.196-197. Grenoble, métropole technologique ouverte sur l’Europe et le monde.

3.     Des dynamiques territoriales complexes et contradictoires

Les dynamiques territoriales de l’UE obéissent à deux logiques opposées et difficiles à concilier :

  • d’une part, la recherche de la cohésion par une politique de solidarité qui soutient les territoires défavorisés ;
  • d’autre part, la logique de compétitivité qui soutient les territoires les plus performants des États.

Exercice : « la politique de cohésion pour 2021-2027 » (article Géoconfluences).

II. L’Union européenne, un espace plus ou moins ouvert sur le monde

Quelle est la place de l’UE dans le monde ? Quel est son degré d’ouverture sur le monde ?

A.    L’Union européenne, une puissance mondiale

Cours p.218-219. L’UE, un acteur majeur dans la mondialisation

1.     Quelles sont les spécificités de cet ensemble régional ?

L’Union européenne n’est ni un État-nation ni un État fédéral, c’est une organisation régionale supranationale, qui associe 27 États-nations[6] ayant consenti au transfert d’une partie de leur souveraineté nationale. Forte d’environ 450 millions d’habitants -Repère 1 p.216. La population de l’UE par rapport aux deux premières puissances, l’Union européenne conserve (malgré le récent Brexit), depuis la création de la CEE en 1957 par six pays, une vocation à s’étendre : plusieurs États sont candidats à l’adhésion -Actugéo p.219. À quand les Balkans dans l’Union européenne + Carte 1 p.222. L’Union européenne entre associations, ruptures et partenariats.

2.     Aspects et limites de la puissance de l’Union européenne

a.       Une puissance économique, financière et normative

Par la puissance de ses places boursières, de ses banques et de sa monnaie commune, l’euro -Repère 3 p.216. L’Euro, l’Union européenne joue un rôle financier central dans la mondialisation. Elle est un espace attractif qui concentre le tiers du stock mondial d’IDE -Repère 5 p.216. Une aire attractive. Attention néanmoins : l'accueil d'IDE est à la fois une chance et un risque pour l'économie européenne. Ils créent ou maintiennent des emplois, mais peuvent aussi se traduire par le rachat de firmes stratégiques par des acteurs étrangers, notamment d’Amérique du Nord ou des émergents. C’est pour limiter ce risque et permettre aux États de préserver leur indépendance économique que l’Union européenne a mis en place en 2019 un mécanisme de filtrage des IDE.

Puissance agricole et industrielle, l’Union européenne réalise le quart du PIB mondial -Repère 2 p.216. L’UE dans le top 3 des aires les plus riches du monde. Elle demeure un pôle d’innovation et de production scientifique et technique, toutefois largement devancé par les États-Unis et la Chine ; son retard en matière numérique inquiète -Repère 9 p.217. Retard numérique.

Avec une population au niveau de vie et de qualification élevé, l’Union européenne est le premier marché du monde ; elle réalise 15% des exportations de biens et 25% des exportations de services[7] -Repère 4 p.216. Un pôle majeur du commerce mondial. Les premiers partenaires commerciaux de l’Union européenne sont les États-Unis et la Chine, mais son commerce intrazone occupe une part prépondérante dans ses échanges.

Outre sa puissance économique, financière et commerciale, l’Union européenne est un acteur incontournable dans les affaires du monde par sa défense des valeurs démocratiques et des droits de l’homme, par sa relative exemplarité en matière environnementale, ou son action pour la paix et le développement[8].

b.      Une forte attractivité pour les mobilités humaines

L’Union européenne est la première destination migratoire mondiale, devant les États-Unis. La multiplication des conflits au Moyen-Orient et en Afrique de pays en guerre suscite des flux de réfugiés d’une ampleur inédite, auxquels s’ajoutent les flux migratoires du travail[9]. Néanmoins, l’Union européenne ferme de plus en plus ses frontières à une immigration elle-même très inégalement répartie au sein de l’Union européenne[10].

Repère 6 p.216. Un grand pôle touristique- L’Union européenne est aussi la première région touristique mondiale : elle accueillait en 2018 la moitié des touristes du monde. Le tourisme, qui représente près de 4% du PIB de l’Union européenne et qui emploie 5% de la population active (2018) joue ainsi un rôle majeur dans l’économie de nombreuses régions européennes.

c.       Quelles sont les limites de cette puissance ?

Mais son influence sur les relations internationales présente des lacunes et des faiblesses, notamment face aux grandes puissances comme les États-Unis ou la Chine -Notion p.217. Sans politique de défense -Repère 8 p.217. Faiblesse de la défense, ni armée, ni diplomatie communes, son action reste limitée sur la scène internationale.

B.    L’UE : une ouverture à géométrie variable

1.     Comment l’Union européenne s’insère-t-elle dans la mondialisation ?

La notion en schéma p.220- Dans ses relations avec l’espace mondial, l’Union européenne présente différentes formes de coopération économique avec les pays proches (frontaliers ou liens historiques) : EEE -Définition p.220, politique de voisinage -Définition p.220. Depuis 2004, l’Union européenne a développé une politique de voisinage avec les pays du Bassin méditerranéen et des confins orientaux de l'Europe. L'objectif est non seulement d'éviter que ne se creuse un écart de développement trop important entre les pays de l’Union européenne et leurs voisins, mais aussi de contenir les ambitions de retour à la puissance de la Russie[11]. Des facilités douanières, des aides en matière de lutte contre la pauvreté et de gestion de l'environnement ainsi que des coopérations pour l'éducation sont mises en œuvre.

La conclusion d’accords commerciaux est une de ses priorités. Elle a noué 42 accords commerciaux avec 73 partenaires, dont le Canada (2018) et Singapour (2019) -Dossier p.226-227. Un accord commercial entre l’Union européenne et Singapour, ce qui représente un tiers du total des échanges commerciaux de l’Union européenne. Elle incite à la mise en réseau des territoires régionaux et urbains, au-delà de l’Union, dans l’espace européen et mondial.

Fortement insérée dans la mondialisation, l’Union européenne cherche à en optimiser les retombées positives, tout en luttant contre ses effets négatifs, par exemple en protégeant ses citoyens par la création de normes et de règles. Elle fait bloc face à la Chine en luttant contre les contrefaçons, et face aux États-Unis avec la lutte contre les monopoles ou contre les stratégies d’évasion fiscale des GAFAM -Actugéo p.221. Mais son action est rendue difficile par l’absence de politique commune en matière fiscale ou sociale au sein de l’Union européenne.

2.     Quels sont les effets de la mondialisation sur ses territoires ?

L’Union européenne a favorisé le développement d’infrastructures denses et performantes (ports, aéroports, universités et centres de recherche) qui structurent ses territoires et les articulent aux flux mondiaux. La construction d’un réseau de transport transeuropéen traduit cette volonté de favoriser l’ouverture et l’insertion dans l’espace mondial -Carte 3 p.223. Axes et réseaux de transports de l’UE + Étude de cas p.194-195. Seine-Escaut, un axe stratégique pour l’UE

Les bénéfices de cette ouverture sont sélectifs selon les territoires. On observe une forte intégration des grandes métropoles, de certains littoraux dynamisés par l’activité touristique ou par l'activité industrielle et portuaire[12], et des régions transfrontalières. En outre, certains pays tirent mieux profit que d'autres de l'ouverture-Carte 2 p.223. L’UE, l’inégale intégration à l’espace mondial : par exemple, l'Allemagne dégage un excédent commercial important grâce à la compétitivité de ses produits. De même, en République tchèque et en Pologne, le nombre d'emplois industriels croît depuis 2004, date d’entrée de ces deux pays dans l’Union européenne : ils attirent en effet de nombreux IDE grâce à la compétitivité de leur main-d'œuvre et à l'accueil d'entreprises dans des zones franches[13]. Parallèlement, d’autres territoires souffrent de l'exposition à la concurrence internationale exacerbée par la mondialisation -Étude de cas p.188-191. Les territoires allemands, tous intégrés à la mondialisation ? Les vieilles régions industrielles d'Europe de l'Ouest résistent mal à la concurrence des pays à coût de main-d'œuvre faible, comme la France, où l'industrie ne pèse plus que 12% du PIB. Les territoires agricoles, notamment céréaliers et d'élevage, sont régulièrement frappés par des crises de surproduction sur les marchés mondiaux qui font chuter les cours.

3.     Quelles sont ses priorités face aux tensions internes et externes ?

À l’heure où l’alternative entre l’ouverture et le repli structure le débat public dans les pays de l’Union européenne, les politiques commerciale et migratoire sont prioritaires.

a.       Politiques commerciales

Le libre-échange défendu par l’Union européenne suscite des oppositions. Une partie de l'opinion publique européenne est hostile à la signature d'accords de libre-échange, par exemple :

  • le CETA signé avec le Canada, très critiqué en Europe car il n'incluait pas d'évaluation de l'impact environnemental de l'accord
  • les négociations avec le MERCOSUR ont suscité l’hostilité du monde agricole européen, par crainte de la concurrence de productions sud-américaines obéissant à des normes sanitaires et environnementales inférieures à celles imposées dans l’Union européenne.

Dans ces conditions, dans le débat public, il est de plus en plus souvent demandé que l’Union européenne subordonne les nouveaux accords à des conditions sociales, environnementales ou politiques.

b.      Politiques migratoires

Les politiques d’immigration, le droit d’asile, la lutte contre la criminalité et le terrorisme ne sont pas harmonisés. Des tentatives de coordination existent (accords Schengen, Agence européenne de gestion des frontières « Frontex », Europol, Eurojust), mais les accords Schengen n’ont pas été ratifiés par tous les États membres, et l’efficacité de l’Agence est limitée malgré le renforcement de ses moyens après la crise migratoire de 2015. Face aux besoins des pays méditerranéens et aux résistances de ceux de l’Europe orientale[14], définir des positions communes en réponse à la crise migratoire est urgent -Dossier p.224-225. Quelle réponse de l’Union européenne face au défi migratoire ?

Exercice : « Les limites de la puissance de l’UE » (dossier).

Conclusion

Révisions p.228-231

Sujets bac p.232-237

Exercice. Réalisation du croquis p.234-235


[1] Cf. http://www.auberge-europeenne.com/

[2] Les 27 États membres comptent des régions frappées par la désindustrialisation, des quartiers pauvres dans leurs métropoles, des territoires ruraux en crise…

[3] Après avoir stagné longtemps à des niveaux très faibles, le PIB par habitant de l’Irlande est aujourd’hui supérieur à la moyenne de l’Union européenne.

[4] …à l’exception du département français de Mayotte.

[5] Cf. https://www.enseignementsup-recherche.gouv.fr/cid145896/www.enseignementsup-recherche.gouv.fr/cid145896/horizon-europe-le-programme-cadre-de-l-union-europeenne-pour-la-recherche-et-l-innovation-2021-2027.html

[6] …depuis le 31 janvier 2020, date officielle du Brexit

[7] Cf. rôle de Rotterdam, le plus grand port européen (onzième port mondial).

[8] 1er contributeur au budget de l’ONU, 1er bailleur d’aide publique au développement

[9] Sur 513 millions d’habitants, l’Union européenne à 28 comptait 42 millions d’étrangers.

[10] L’Allemagne est le 1er pays d’immigration, la France est en 5e position

[11] Cf. le Partenariat oriental, qui vise à coopérer étroitement avec la Géorgie, l'Ukraine et la Moldavie, des pays se sentant menacés par les ambitions géopolitiques russes.

[12] Cf. la façade maritime de « la Northern Range »

[13] Ainsi, l'usine d'électroménager Whirlpool d'Amiens a été délocalisée en 2018 vers la zone franche de Lodz en Pologne.

[14] Les pays du groupe de Visegrad refusent d'accueillir des migrants même lorsque ce sont des réfugiés. La Hongrie a même construit un mur à sa frontière avec la Serbie pour bloquer les flux.

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