Matériel nécessaire (pour chacun des quatre thèmes)
- Vos notes, et/ou le cours disponible sur notre site[1]
- Le manuel (le cours renvoie à de nombreuses reprises à des documents, repères, etc. du manuel)
- Le diaporama, disponible au format powerpoint ou pdf sur notre site1.
I. Première étape : le « fichage »
C’est la part ingrate et pourtant indispensable du travail dans nos disciplines : sans connaissances précises, on ne peut pas produire une dissertation, ni même une étude critique de document(s) de qualité. La mémorisation des contenus étudiés est donc un préalable incontournable. NB. Ceux qui parmi vous ont eu une écoute active et une bonne implication dans le cours, et ceux qui ont révisé au fur et à mesure des évaluations que nous avons déjà faites (ce sont souvent les mêmes) seront avantagés, parce qu’ils « RÉviseront » -les autres « viseront » : ils découvriront, et ce sera sûrement plus dur…
Cette première étape consiste à produire des fiches résumant la trentaine de pages environ de chaque thème à réviser. Ce travail s’accomplit avec les trois supports énumérés plus haut, par exemple avec le manuel et le cours[2] sur le bureau et le diaporama sur l’écran de l’ordinateur.
II. Deuxième étape : la mémorisation
Le fichage contribue à une première mémorisation. Suivant les cas, vous pourrez juger opportun de produire « la fiche de la fiche », voire « la fiche de la fiche de la fiche », jusqu’à ce que le contenu soit gravé dans vos mémoires. Vous pouvez aussi opter pour une lecture répétée de vos fiches, lecture silencieuse ou à voix haute -à votre convenance. En fait cela dépend des procédés qui vous réussissent le plus : certains ont besoin d’écrire « pour que ça rentre », d’autres de lire ou d’écouter[3], d’autres enfin de se faire questionner.
Vous pourrez considérer que vous avez achevé votre « bourrage de crâne » au moment où à la simple vue du plan, le contenu des parties et sous-parties vous vient spontanément à l’esprit.
III. Troisième étape : l’entraînement
Les pages de fin de chapitres (axes, thèmes) de votre manuel proposent des entraînements tout à fait sérieux. Les annales et ouvrages parascolaires sont nombreux, et jamais inutiles même s’ils sont de qualité inégale -mais ne vous ruinez pas pour engraisser les « marchands du temple » : de nombreuses ressources de ce type sont disponibles sur Internet et sont souvent gratuites, y compris par Corrélyce et Atrium.
Sans forcément traiter tous les sujets « à fond », je vous suggère de vous pencher sur chacun d’entre eux et d’esquisser au brouillon le travail que vous produiriez si vous aviez à le traiter. Si vous rencontrez des difficultés ou si vous avez des doutes sur la manière de procéder, n’hésitez pas à vous reporter aux conseils de méthode sur notre site1 ou à me questionner.
« Il n’y a plus qu’à »
Que vous vous inspiriez de ces conseils ou pas, je vous souhaite bon courage et surtout je vous invite à mettre beaucoup de cœur à l’ouvrage : l’expérience que vous vivez ici vous préparera au baccalauréat, et vous servira aussi dans l’avenir. Plus encore, ces périodes de révisions restent souvent comme des souvenirs marquants d’une scolarité et d’une jeunesse, qui vous construisent et qui vous arment.
[2] Imprimé, il se prête au surlignage, mais vous pouvez aussi vous contenter de l’afficher sur un téléphone mobile ou une tablette. Bien évidemment, vous pouvez également vous appuyer sur vos notes personnelles.
[3] Certains mémorisent encore mieux en enregistrant leur lecture et en écoutant leur enregistrement avec leurs écouteurs…